des cols des cols et des cols
Posté : lun. 06 sept., 2021 7:39
Bonjour à vous,
Hier, dimanche, besoin de prendre l'air, de changer un peu de décors et visiter quelques grands cols des alpes que je connaissais pas.
Comme je roule tous les jours avec ma 14, environ 10 000 km par ans, il fallait bien aller tâter de ces routes mythiques.
Donc départ du bord lac du Bourget, juste après 9h avec comme premier objectif le Galibier. Après, on verra...
Bord de lac, enfin presque car il était squatté par des bipèdes en mal de souffrance de sur 10 km en courant. Donc petit détour par le Vivier du Lac, Chambéry et sa superbe rocade, et gaz sur l'autoroute de la Maurienne. A ce stade on est content de nos grosses mémères, et je cruise comme on dit dans la modernité aux limites légales. Le coyote dort sagement dans le smartphone, il servira plus tard.
Sortie Saint Michel de Maurienne, remplissage du réservoir et me voilà parti à la recherche d'un troquet pour le fameux café-croissant.
Rien ne me tente et je commence la montée vers Valloire avec un mot de mon fiston qui roule en Subaru WRX. Tu verras, la montée sur Valloire est une purge...
Je confirme, moultes épingles pleine de moto sans moteur montée par des êtres humaines qui appuient sur des bouts de ferraille qui font tourner la chaine. Totalement archaïque... Un revêtement excellent... sur 3 km, puis on revient au fameux goudronnage à la française, un mixte improbable de surface.
Bon, la 14 dans les épingles, et je dis bien dedans, ça demande un peu de métier... qui me manque, en sortie c'est plus simple, gaz et en entrée le freinage n'est pas bien compliqué non plus.
Et là, 1° col de la journée, le col du télégraphe, très joli mais le café est à l'ombre et donc pas d'arrêt pipi.
Arrivée à Valloire, très joli aussi, je traverse le village pour finalement me poser à la sortie et prendre enfin mon café-croissant.
Gros défilé de moto qui descendent, de tout, mais surtout des gros trail avec plein de valises autour. Parfois on est petit en ZZR avec juste une sacoche réservoir...
Bref, allez, zou pour le col du Galibier. La c'est vraiment le bonheur, plus (presque) d'épingle et un décors de plus en plus sauvage, minéral et là, que vois-je? Un photographe dans une épingle. Mon incompréhension est totale, le tour de France est fini, pas de Mariée en robe blanche ni de people en vu. Juste des cyclistes et des motos et des cyclistes et des motos!! Mon cerveau tente de comprendre et lisant une banderole je découvre qu'il existe un métier de photographe de col... Ils nous immortalisent pour la postérité! et moyennant quelques deniers nous proposent sur le Web ces images...
Bref ça monte la 14 ne s'essouffle pas malgré l'altitude. Dernier KM pour arriver au col, étroit (la route) à souhait et franchement ça vaut le détour. La vue est sublime la communion cycliste-motard opère, on est tous content, pas forcément pour les mêmes raisons d'être en haut.
Donc 2° col de la journée.
Je plonge sur le col du Lautaret et les premières épingles me font redécouvrir a quel point la 14 est parfaitement adaptée aux épingles serrée, en descente, bref je serre un peu les fesses et je prend mon temps. Surtout je parfais mon expérience incertaine.
Puis la route redevient facile, étroite mais roulante et j'arrive au col du Lautaret, la banane, le sourire.
Donc 3° col de la journée. Il fait beau, quelques nuages bourgeonnent et quoi faire?
A droite Bourg d'Oisans puis le col du Glandon, à gauche les Hautes Alpes...
Le sud me tente trop, direction Briançon!
Bon, la suite bientôt car la le café du matin et le taf m'attendent!
Hier, dimanche, besoin de prendre l'air, de changer un peu de décors et visiter quelques grands cols des alpes que je connaissais pas.
Comme je roule tous les jours avec ma 14, environ 10 000 km par ans, il fallait bien aller tâter de ces routes mythiques.
Donc départ du bord lac du Bourget, juste après 9h avec comme premier objectif le Galibier. Après, on verra...
Bord de lac, enfin presque car il était squatté par des bipèdes en mal de souffrance de sur 10 km en courant. Donc petit détour par le Vivier du Lac, Chambéry et sa superbe rocade, et gaz sur l'autoroute de la Maurienne. A ce stade on est content de nos grosses mémères, et je cruise comme on dit dans la modernité aux limites légales. Le coyote dort sagement dans le smartphone, il servira plus tard.
Sortie Saint Michel de Maurienne, remplissage du réservoir et me voilà parti à la recherche d'un troquet pour le fameux café-croissant.
Rien ne me tente et je commence la montée vers Valloire avec un mot de mon fiston qui roule en Subaru WRX. Tu verras, la montée sur Valloire est une purge...
Je confirme, moultes épingles pleine de moto sans moteur montée par des êtres humaines qui appuient sur des bouts de ferraille qui font tourner la chaine. Totalement archaïque... Un revêtement excellent... sur 3 km, puis on revient au fameux goudronnage à la française, un mixte improbable de surface.
Bon, la 14 dans les épingles, et je dis bien dedans, ça demande un peu de métier... qui me manque, en sortie c'est plus simple, gaz et en entrée le freinage n'est pas bien compliqué non plus.
Et là, 1° col de la journée, le col du télégraphe, très joli mais le café est à l'ombre et donc pas d'arrêt pipi.
Arrivée à Valloire, très joli aussi, je traverse le village pour finalement me poser à la sortie et prendre enfin mon café-croissant.
Gros défilé de moto qui descendent, de tout, mais surtout des gros trail avec plein de valises autour. Parfois on est petit en ZZR avec juste une sacoche réservoir...
Bref, allez, zou pour le col du Galibier. La c'est vraiment le bonheur, plus (presque) d'épingle et un décors de plus en plus sauvage, minéral et là, que vois-je? Un photographe dans une épingle. Mon incompréhension est totale, le tour de France est fini, pas de Mariée en robe blanche ni de people en vu. Juste des cyclistes et des motos et des cyclistes et des motos!! Mon cerveau tente de comprendre et lisant une banderole je découvre qu'il existe un métier de photographe de col... Ils nous immortalisent pour la postérité! et moyennant quelques deniers nous proposent sur le Web ces images...
Bref ça monte la 14 ne s'essouffle pas malgré l'altitude. Dernier KM pour arriver au col, étroit (la route) à souhait et franchement ça vaut le détour. La vue est sublime la communion cycliste-motard opère, on est tous content, pas forcément pour les mêmes raisons d'être en haut.
Donc 2° col de la journée.
Je plonge sur le col du Lautaret et les premières épingles me font redécouvrir a quel point la 14 est parfaitement adaptée aux épingles serrée, en descente, bref je serre un peu les fesses et je prend mon temps. Surtout je parfais mon expérience incertaine.
Puis la route redevient facile, étroite mais roulante et j'arrive au col du Lautaret, la banane, le sourire.
Donc 3° col de la journée. Il fait beau, quelques nuages bourgeonnent et quoi faire?
A droite Bourg d'Oisans puis le col du Glandon, à gauche les Hautes Alpes...
Le sud me tente trop, direction Briançon!
Bon, la suite bientôt car la le café du matin et le taf m'attendent!